A Shanghai, la créature anthropocénique est au centre de ma recherche picturale. Le néologisme «désapparition» suggère cette apparition fantomatique, brêve et tramée sur l’espace du gif de la créature.

Il s’agit de faire «désapparaître» l’animal, de le superposer à des environnements chinois urbains ou semi urbains. Des animaux monstrueux, «anthropomorphosés», se réapproprient les espaces contruits et les espaces numériques, et créent leurs propres fables. L'image numérique se gazéifient et échappe à l’espace d’exposition.